Le contrôle technique automobile demeure un passage incontournable pour tout propriétaire de véhicule en France, garantissant la sécurité sur les routes et le respect des normes environnementales. Chaque année, des millions de véhicules sont soumis à cette inspection rigoureuse, révélant parfois des anomalies qui nécessitent des réparations avant de pouvoir reprendre la route en toute légalité. En 2025, les évolutions réglementaires et la montée en puissance des véhicules connectés ont achevé de professionnaliser cette étape, faisant émerger des défauts récurrents que les conducteurs devraient connaître afin d’éviter les mauvaises surprises. Des freins déficients jusqu’à la corrosion cachée, chaque problème détecté n’est pas qu’une simple formalité : il peut engendrer des risques importants pour les usagers. Identifier précisément les cinq défauts les plus courants permet non seulement d’anticiper ces obstacles, mais aussi de mieux préparer son véhicule grâce aux conseils d’experts et aux solutions offertes par des enseignes spécialisées telles que Norauto, Feu Vert ou Mister-Auto.

Problèmes de freinage : un risque majeur au contrôle technique automobile

Parmi les défauts les plus préoccupants découverts lors des contrôles techniques, les dysfonctionnements au niveau du système de freinage arrivent sans aucun doute en tête. Cette problématique ne se limite pas à un risque technique : elle engage directement la sécurité des conducteurs et des passagers, mais également celle des autres usagers de la route.

Un mauvais état des freins se manifeste souvent par des bruits inhabituels, une pédale qui vibre ou un allongement notable de la distance d’arrêt. Ces symptômes indiquent un dépôt d’usure avancé sur les plaquettes ou les disques, un niveau bas ou pollué de liquide de frein, ou encore la présence d’air dans le circuit hydraulique. Par exemple, un conducteur ayant négligé le changement de plaquettes surintégrera au risque de voir son véhicule recalé lors du contrôle, comme l’illustre le cas d’un automobiliste parisien en 2024 qui a dû effectuer un remplacement intégral chez un centre Euromaster pour obtenir le fameux certificat de conformité.

Défaillances d’éclairage et de signalisation aux contrôles techniques en 2025

L’éclairage et la signalisation du véhicule sont essentiels pour la sécurité sur la route. En 2025, avec l’augmentation du trafic et la complexification des infrastructures, un éclairage fonctionnel ne se négocie plus. Pourtant, de nombreux véhicules présentent encore des anomalies dans ce domaine lors des contrôles. Ces défaillances, qu’il s’agisse de phares mal réglés, de clignotants défectueux ou de feux arrière non opérationnels, sont souvent le fruit d’un entretien insuffisant ou de l’usure naturelle des ampoules.

Un défaut sur les systèmes d’éclairage impacte non seulement la visibilité nocturne mais aussi la communication entre conducteurs. Par exemple, un voyant de clignotant absent peut provoquer une confusion, notamment dans les intersections, multipliant les risques de collision. C’est pourquoi des enseignes nationales comme Oscaro et Mister-Auto insistent sur l’importance de vérifier régulièrement les circuits électriques et de disposer d’un jeu d’ampoules de rechange. Ce conseil, relayé également par Feu Vert et Norauto, vise à limiter les interventions d’urgence avant contrôle.

Usure des pneus : un défaut répandu menaçant la sécurité routière

Les pneus jouent un rôle primordial dans la tenue de route et le freinage. Leur état détermine l’adhérence au sol, influant sur la stabilité et la sécurité du véhicule. Une usure excessive des pneus est ainsi parmi les défauts les plus fréquemment détectés lors des passages au contrôle technique. En examinant minutieusement la profondeur de la bande de roulement, l’inspecteur évalue si les pneus respectent les seuils légaux, souvent situés autour de 1.6 mm.

Une usure irrégulière peut révéler des problèmes plus profonds, comme un mauvais alignement des roues ou un défaut de pression, problématiques signalées régulièrement chez les clients traités par des prestataires comme Euromaster, Norauto ou AD Expert. Par exemple, un automobiliste normand a récemment dû remplacer un jeu complet après que le contrôle technique a révélé une usure asymétrique liée à un défaut d’amortisseur non détecté.

Contrôle des émissions polluantes : un enjeu environnemental et réglementaire croissant

Le contrôle des émissions est l’un des aspects majeurs du contrôle technique depuis la mise en place des normes Euro plus strictes. Lutter contre la pollution atmosphérique passe aujourd’hui par une maîtrise rigoureuse des rejets des véhicules. Une grande partie des rejets nocifs provient de défaillances au niveau du système antipollution, souvent non détectées par les conducteurs avant le contrôle.

Les défauts les plus courants concernent le catalyseur fatigué, les sondes lambda défectueuses ou encore un système d’injection mal calibré. Ces éléments contribuent à augmenter les émissions de CO2 et d’oxydes d’azote, sources majeures de pollution urbaine et de risques sanitaires. Des enseignes reconnues comme Norauto, Midas et AD Expert proposent des diagnostics complets, incluant par exemple la remise à jour du logiciel de gestion moteur, pour réduire ces émissions et restaurer la performance écologique du véhicule.

Outre l’aspect environnemental, les problèmes d’émissions se traduisent aussi par une perte de puissance et une surconsommation qui impacte directement le budget carburant. Par exemple, un automobiliste lillois ayant ignoré un témoin moteur a vu sa facture carburant grimper de 15 % sur un périmètre de 10 000 kilomètres, tout en risquant la suppression de son certificat de contrôle technique. Le recours à un entretien régulier chez Feu Vert, Bosch ou Oscaro réduit considérablement ces risques.

Corrosion et dégâts sur la carrosserie : un défaut souvent sous-estimé lors du contrôle technique

Si l’aspect esthétique est important, la corrosion de la carrosserie constitue surtout un véritable enjeu structurel pour la sécurité automobile. Ce défaut, souvent négligé par les automobilistes, peut entraîner des faiblesses sur le châssis, détériorer les fixations et compromettre la résistance de l’habitacle en cas de choc.

Les zones particulièrement sujettes à la corrosion sont les passages de roues, le dessous du véhicule et les points d’ancrage des portières. Ces endroits accumulent humidité, saletés et sel, surtout en hiver, favorisant l’apparition de rouille. Preuve de l’importance de ce facteur, de nombreux véhicules présentés dans des centres Feu Vert ou Mister-Auto finissent recalés à cause de taches visibles ou de perforations trop avancées.

Prévenir la corrosion passe par un entretien rigoureux : lavage régulier en profondeur, traitement anti-rouille appliqué par des professionnels tels que Euromaster ou AD Expert, et réparation rapide des premières traces. Un automobiliste lyonnais racontait avoir évité un remplacement total de plancher grâce à une intervention précoce après une inspection chez Bosch. Ces actions permettent aussi de maintenir la valeur de revente du véhicule, un élément non négligeable dans le marché actuel.